aspartameTout commence par l’attirance pour le sucré, qui  est présent dès la naissance chez le petit humain. L’hypothèse souvent proposée pour expliquer cette attirance innée est que les glucides procurent de l’énergie rapidement, et en premier lieu, avec le lait maternel, riche en lactose (glucide simple) et à la saveur sucrée.

Nous le savons désormais, c’est le sucre qui fait grossir (et pas les graisses). Du coup, les industriels ont eu la « bonne idée » de créer des boissons sucrées en remplaçant le sucre par des édulcorants de synthèse, comme l’aspartame, afin de  continuer à satisfaire les papilles de leurs clients sans alourdir leur silhouette. Mais ce n’est pas parce que les boissons light n’apportent pas de calories qu’elles n’ont aucun effet. Au contraire…

Une étude récente de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) montre que les boissons lights augmentent considérablement le risque de développer un diabète de type II, bien plus que les boissons sucrées classiques. Et oui !

Les édulcorants agiraient ainsi comme un leurre pour le cerveau. Et malgré le « zéro calorie », un pic d’insuline serait créé afin de réguler le taux de sucre dans le sang, bien que l’apport de sucre n’ait pas eu lieu. L’insuline, faisant baisser  » à tort  » la glycémie, cela stimulerait le besoin de consommer du sucre, ce qui favoriserait à terme l’obésité et donc le diabète.

Les boissons light ont aussi le défaut de doubler les risques de développer un syndrome métabolique, et donc de créer un terrain qui favorise les crises cardiaques.

Les amoureux des boissons sucrées pourront se rabattre sur les jus de fruit frais (100 % jus de fruits, sans sucres ajoutés). Notre corps possède naturellement les enzymes pour synthétiser les sucres naturels.

Mais l’idéal est de consommer le fruit en entier, avec tous ses bienfaits 🙂